Le soissonais vue par JcS
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Le soissonais vue par JcS
Je ne souhaite en aucun cas faire une copie du sujet de Maliant. Mais par ce forum, ou je me réserve l'excluvité des messages (merci d'avance), j'aimerais faire entendre une autre voie au sein de la Praxis.
Re: Le soissonais vue par JcS
Dimanche 17 Décembre
Ma première convocation à l'Elysée pour une réunion avec mes semblables, quel surprise que ce soit un dimanche. Mais le Prince doit avoir ses raisons.
J'ai vite compris pourquoi. Moi qui souhaitait me faire une place à l'ombre dans une Praxis tranquille, c'est raté. J'avais amené avec moi quelques interrogations sur des événements se passant dans le domaine, mais ce sera pour plus-tard. Mes semblables et "nouveaux camarades" manquent complétement d'éducation envers leur état, et de respect envers nos institutions.
Comment des lupins font-ils pour arriver jusque dans notre domaine sans que l'on en soit avertit ? Nous avons beau fustigé les aubains, certains d'entre eux pourrait au moins se rendre util dans ce genre de situation.
Un nouveau-né se permet de s'adresser à une assemblée en terme "d'enculeurs de mouches" alors que celle-ci comportent plusieurs anciens. Mais, certains ont été tués pour moins que ça. Et en plus personne ne réagit, quelque soit son statut.
Le Justicar qui a réouvert la Praxis aux caïnites auraient suffisamment d'éléments pour plus que nous botter les fesses, à tous.
Et pour couronner le tous, ils ne sont qu'une poignée à avoir le courage de se présenter.
Tiens une surprise, un ancien confrère de Praxis, Camille. Et il est mélé dans une affaire que l'on peut décrire comme des plus louche. J'ai comme un goût bizarre en le voyant, et en connaissant certains événements. Peut-être que je me trompe ??
Cerise sur le gâteau, on a sur le dos ce qui pourrait rapidement devenir un non-respect de la 1ère tradition avec une chanson des plus mélodieuses, mais problématique.
Ah... j'avais oublié la chantilly avant la cerise. Tellement d'événements, retranscris dans un journal public, qui restent encore sans réponse.
La réunion se termine, ma nuit, elle, continue. Il me reste encore des affaires à aller chercher.
Ma première convocation à l'Elysée pour une réunion avec mes semblables, quel surprise que ce soit un dimanche. Mais le Prince doit avoir ses raisons.
J'ai vite compris pourquoi. Moi qui souhaitait me faire une place à l'ombre dans une Praxis tranquille, c'est raté. J'avais amené avec moi quelques interrogations sur des événements se passant dans le domaine, mais ce sera pour plus-tard. Mes semblables et "nouveaux camarades" manquent complétement d'éducation envers leur état, et de respect envers nos institutions.
Comment des lupins font-ils pour arriver jusque dans notre domaine sans que l'on en soit avertit ? Nous avons beau fustigé les aubains, certains d'entre eux pourrait au moins se rendre util dans ce genre de situation.
Un nouveau-né se permet de s'adresser à une assemblée en terme "d'enculeurs de mouches" alors que celle-ci comportent plusieurs anciens. Mais, certains ont été tués pour moins que ça. Et en plus personne ne réagit, quelque soit son statut.
Le Justicar qui a réouvert la Praxis aux caïnites auraient suffisamment d'éléments pour plus que nous botter les fesses, à tous.
Et pour couronner le tous, ils ne sont qu'une poignée à avoir le courage de se présenter.
Tiens une surprise, un ancien confrère de Praxis, Camille. Et il est mélé dans une affaire que l'on peut décrire comme des plus louche. J'ai comme un goût bizarre en le voyant, et en connaissant certains événements. Peut-être que je me trompe ??
Cerise sur le gâteau, on a sur le dos ce qui pourrait rapidement devenir un non-respect de la 1ère tradition avec une chanson des plus mélodieuses, mais problématique.
Ah... j'avais oublié la chantilly avant la cerise. Tellement d'événements, retranscris dans un journal public, qui restent encore sans réponse.
La réunion se termine, ma nuit, elle, continue. Il me reste encore des affaires à aller chercher.
Re: Le soissonais vue par JcS
Samedi 03 Février 2007
Ma deuxième réunion d'Elysée. Cette fois nous sommes conviés par César, Marquis de Coucy-bas. Intéressant de voir sa décoration.
Ce qui est moins intéressant, plus énigmatique et pas très appréciable, c'est que celui-ci n'est pas présent. Au lieu de celà, nous sommes reçu par sa goule qui se propose de répondre à nos attentes, mais avec beaucoup de méfiance et de tensions dans la voie. Il faut dire que certains de mes semblables seraient presque prêt à payer pour avoir la peau de son maître, qui aurait peut-être trempé dans une histoire pas très propre selon leurs dire.
Ce qui m'interpelle le plus, c'est que nous nous retrouvons en fait dans ce j'appelle un piège. L'inquisition vient brusquement et étonnement faire irruption alors que nous sommes là, et pas le maître des lieux. Accordons-lui le bénéfice du doute de par son statut, et le fait que moi-même je me soit fait prendre, alors que j'étais sur Soissons avec Cendre pour récupérer du matériel. Ca m'a coûté une sacrée saigné, mes habits du soir et un passage par les êgouts. Privilège que j'apprécie à sa juste valeure, mais que j'aimerais réitérer le moins poissible.
Ah... autre fait, un charnier découvert à Villers. Je suis pas prêt de mettre les pieds dans cette ville. Elle est entouré par les lupins, une moitié leur appartient, et l'autre au Giovanni. Donc des Giovanni et un charnier, je veux même pas savoir ce qu'ils ont fait. Il faut juste que ça ne retombe pas sur la Mascarade.
Pour mes semblables, hormis le Sénéchal, très peu de ceux que j'ai rencontré m'ont l'air de tenir la route. Et dire que certains occupent des postes important de notre société.
Que fait le maître des harpies quand l'ex-gardien d'Elysée manque de respect envers nos hauts représentants...
Je me demande si le prévôt répondra un jour à la question du Prince...
Et ceci n'est qu'un aperçu de tous ce que contient notre Praxis.
Il va falloir la jouer fine, la mort nous guettes à tout instant dans ces conditions.
Ma deuxième réunion d'Elysée. Cette fois nous sommes conviés par César, Marquis de Coucy-bas. Intéressant de voir sa décoration.
Ce qui est moins intéressant, plus énigmatique et pas très appréciable, c'est que celui-ci n'est pas présent. Au lieu de celà, nous sommes reçu par sa goule qui se propose de répondre à nos attentes, mais avec beaucoup de méfiance et de tensions dans la voie. Il faut dire que certains de mes semblables seraient presque prêt à payer pour avoir la peau de son maître, qui aurait peut-être trempé dans une histoire pas très propre selon leurs dire.
Ce qui m'interpelle le plus, c'est que nous nous retrouvons en fait dans ce j'appelle un piège. L'inquisition vient brusquement et étonnement faire irruption alors que nous sommes là, et pas le maître des lieux. Accordons-lui le bénéfice du doute de par son statut, et le fait que moi-même je me soit fait prendre, alors que j'étais sur Soissons avec Cendre pour récupérer du matériel. Ca m'a coûté une sacrée saigné, mes habits du soir et un passage par les êgouts. Privilège que j'apprécie à sa juste valeure, mais que j'aimerais réitérer le moins poissible.
Ah... autre fait, un charnier découvert à Villers. Je suis pas prêt de mettre les pieds dans cette ville. Elle est entouré par les lupins, une moitié leur appartient, et l'autre au Giovanni. Donc des Giovanni et un charnier, je veux même pas savoir ce qu'ils ont fait. Il faut juste que ça ne retombe pas sur la Mascarade.
Pour mes semblables, hormis le Sénéchal, très peu de ceux que j'ai rencontré m'ont l'air de tenir la route. Et dire que certains occupent des postes important de notre société.
Que fait le maître des harpies quand l'ex-gardien d'Elysée manque de respect envers nos hauts représentants...
Je me demande si le prévôt répondra un jour à la question du Prince...
Et ceci n'est qu'un aperçu de tous ce que contient notre Praxis.
Il va falloir la jouer fine, la mort nous guettes à tout instant dans ces conditions.
Re: Le soissonais vue par JcS
Samedi 24 Mars 2007
Nouvelle réunion, et certainement nouveaux événements qui vont encore s'ajouter aux nombreux déjà problématique.
C'est quand même avec un certain plaisir que je m'y rend, mais une inquiétude aussi, le prince n'était pas joignable dernièrement.
Toujours est-il qu'une fois arrivée, le prince fait son entrée et nous annonces de but en blanc qu'il quitte la cité et laisse son poste à un Ventrue nommé Hautevoie, un ancillae. Ca ne présage rien de bon à mon avis, je ne suis pas convaincu qu'un semblable avec si peu d'ancienneté puisse tenir la ville avec tous ce qui s'y passe.
Mais dans l'immédiat une autre affaire m'intrigue beaucoup plus. Une missive nous a été laissé par les lupins qui déclarent nous tenir responsable pour les derniers événements, et qu'ils sont au bord de la guerre ouverte avec nous.
Le nouveau prince n'a apparemment que faire de celle-ci, et commence par mettre son nouveau bureau en place. Seul Maliant n'est pas conforté, il faut qu'un sans-clan au poste de sénéchal, il y avait peu de chance qu'il continue. Mais en plus il est refusé sur la ville, ce qui ne reste pas longtemps sans réaction. Mais la goule du prince, ayant apparemment toute autorité sur nous, le "calme" assez vite. Cette même goule qui s'est présenté à nous sous deux noms différents, ça c'est problématique, surtout que l'un des noms n'est autre que Tallerand, goule d'Anguerand.
Encore plus problématique, c'est ce prince qui reste sans réponse et sans décision lorsqu'en temps que sénéchal je lui demande les lignes à suivre de sa diplomatie...
Ensuite arrive César, marquis de Coucy haut et prétandant ancien du clan Ventrue. De prim'abord, il discute peu avec nous, mais directement avec le prince qu'il semble connaître de réputation. Mais une fois mes camarades parti en vadrouille, j'en profite pour discuter avec lui, et c'est alors que je me rend compte qu'une règle de la camarilla n'est peut-être pas respecté. Je prend donc contact avec Charline, car elle seule possède les relations pouvant mené au justicar France, qui aurait dû avalisé la nomination de ce prince. Aucun ancien de la cité n'est au courant de ce changement de hiérarchie, et leur marquisat est apparemment révolu. Cette discussion avec César fût fructueuse, et je retournerais certainement vers lui, car il s'est engagé à me donnait des réponses une fois son marquisat retrouvé. Ce qui est chose faîtes je pense. Mais je ne vais pas tenir Charline au courant, espérant qu'elle aura joint le justicar et que celui-ci prêtera attention à notre cité.
Mais malgrès ce changement et l'assemblée restreinte, je n'ai jamais vu mes semblables aussi efficace. Peut-être faudrait-il un changement de prince à chaque réunion ???
Certain retrouve un gang de braqueurs ayant en leur possession une vidéo risquant de briser la mascarade. Il sont amenés à l'élysée, et y meurt égorgé sous nos yeux sans que l'on voit quelque chose et sans que l'on puisse réagir.
Avec l'aide de Paris et Cendre, je met la main sur le poste informatique servant à diffuser la chanson portant atteinte à la mascarade.
Pendant ce temps le Prévot et le gardien découvre une ancinne chanterie qui serait le point de départ d'une entité maléfique.
Ayant fait le résumé de nos actions au "prince", celui-ci nous répond que la séance est levée, sans autre recommandation ou directive. Quittant cette réunion, nous sommes contacté par une gargouille. Décidément cette ville regorge de surprises et d'entités. Elle nous mène à Juste, qui dans un état prouvant qu'il a été attaqué, nous explique que ce n'est pas lui qui a nommé ce "nouveau prince", et nous demande de reprendre son poste. Chose faite en un cours-instant, étant donné le rang et les capacités de celui-ci. Il s'averera au final que notre usurpateur n'est autre que l'infant d'Anguerand, qui continuerai à mené sa vendetta personnelle commencée il y a plusieurs siècles, sous l'égide de Clothair.
Pour moi, j'ai beaucoup à faire, tellement d'informations récoltées à approfondir, et surtout je vais anticiper quelques relations diplomatiques qui me semble indispensable. Même si celà n'est pas à moi de le faire, je vais prendre les devants, n'étant pas sûr que d'autre le feront.
Nouvelle réunion, et certainement nouveaux événements qui vont encore s'ajouter aux nombreux déjà problématique.
C'est quand même avec un certain plaisir que je m'y rend, mais une inquiétude aussi, le prince n'était pas joignable dernièrement.
Toujours est-il qu'une fois arrivée, le prince fait son entrée et nous annonces de but en blanc qu'il quitte la cité et laisse son poste à un Ventrue nommé Hautevoie, un ancillae. Ca ne présage rien de bon à mon avis, je ne suis pas convaincu qu'un semblable avec si peu d'ancienneté puisse tenir la ville avec tous ce qui s'y passe.
Mais dans l'immédiat une autre affaire m'intrigue beaucoup plus. Une missive nous a été laissé par les lupins qui déclarent nous tenir responsable pour les derniers événements, et qu'ils sont au bord de la guerre ouverte avec nous.
Le nouveau prince n'a apparemment que faire de celle-ci, et commence par mettre son nouveau bureau en place. Seul Maliant n'est pas conforté, il faut qu'un sans-clan au poste de sénéchal, il y avait peu de chance qu'il continue. Mais en plus il est refusé sur la ville, ce qui ne reste pas longtemps sans réaction. Mais la goule du prince, ayant apparemment toute autorité sur nous, le "calme" assez vite. Cette même goule qui s'est présenté à nous sous deux noms différents, ça c'est problématique, surtout que l'un des noms n'est autre que Tallerand, goule d'Anguerand.
Encore plus problématique, c'est ce prince qui reste sans réponse et sans décision lorsqu'en temps que sénéchal je lui demande les lignes à suivre de sa diplomatie...
Ensuite arrive César, marquis de Coucy haut et prétandant ancien du clan Ventrue. De prim'abord, il discute peu avec nous, mais directement avec le prince qu'il semble connaître de réputation. Mais une fois mes camarades parti en vadrouille, j'en profite pour discuter avec lui, et c'est alors que je me rend compte qu'une règle de la camarilla n'est peut-être pas respecté. Je prend donc contact avec Charline, car elle seule possède les relations pouvant mené au justicar France, qui aurait dû avalisé la nomination de ce prince. Aucun ancien de la cité n'est au courant de ce changement de hiérarchie, et leur marquisat est apparemment révolu. Cette discussion avec César fût fructueuse, et je retournerais certainement vers lui, car il s'est engagé à me donnait des réponses une fois son marquisat retrouvé. Ce qui est chose faîtes je pense. Mais je ne vais pas tenir Charline au courant, espérant qu'elle aura joint le justicar et que celui-ci prêtera attention à notre cité.
Mais malgrès ce changement et l'assemblée restreinte, je n'ai jamais vu mes semblables aussi efficace. Peut-être faudrait-il un changement de prince à chaque réunion ???
Certain retrouve un gang de braqueurs ayant en leur possession une vidéo risquant de briser la mascarade. Il sont amenés à l'élysée, et y meurt égorgé sous nos yeux sans que l'on voit quelque chose et sans que l'on puisse réagir.
Avec l'aide de Paris et Cendre, je met la main sur le poste informatique servant à diffuser la chanson portant atteinte à la mascarade.
Pendant ce temps le Prévot et le gardien découvre une ancinne chanterie qui serait le point de départ d'une entité maléfique.
Ayant fait le résumé de nos actions au "prince", celui-ci nous répond que la séance est levée, sans autre recommandation ou directive. Quittant cette réunion, nous sommes contacté par une gargouille. Décidément cette ville regorge de surprises et d'entités. Elle nous mène à Juste, qui dans un état prouvant qu'il a été attaqué, nous explique que ce n'est pas lui qui a nommé ce "nouveau prince", et nous demande de reprendre son poste. Chose faite en un cours-instant, étant donné le rang et les capacités de celui-ci. Il s'averera au final que notre usurpateur n'est autre que l'infant d'Anguerand, qui continuerai à mené sa vendetta personnelle commencée il y a plusieurs siècles, sous l'égide de Clothair.
Pour moi, j'ai beaucoup à faire, tellement d'informations récoltées à approfondir, et surtout je vais anticiper quelques relations diplomatiques qui me semble indispensable. Même si celà n'est pas à moi de le faire, je vais prendre les devants, n'étant pas sûr que d'autre le feront.
Re: Le soissonais vue par JcS
Samedi 12 Mai 2007
Une nouvelle réunion qui n'annonce rien de bon encore une fois. D'après ce que j'ai pû entendre les temps sont rudes, et de grandes choses se préparent.
Pour commencer, le Prince nous convie dans des endroits différents et nous fait emmenés par la suite à l'Elysée, que de précautions. Grande surprise à mon arrivé, nous ne serons que 4 pour cette nouvelle réunion. Quel bande de couard ces caïnites !!!! Pas de souci, nous ferons tous nous-même, malgrè ma faible percussion en combat.
Le plus ennuyeux, c'est que nous aurons certainement beaucoup de choses à régler durant cette soirée, et ce n'est donc pas ce soir que nous éluciderons certaines affaires urgentes comme le poème.
Bien, le Prince nous confie une liste de chose à faire comme les Giovanni et le Ventrue de Coucy. Mais avant cela il tient sa parole et me nomme chancelier de Coucy, mais aussi Maître des Harpies. Poste que je briguais, mais je ne m'y attendais pas aussi tôt. Ca fait tout de même plaisir de se voir confier des postes, même si celui de chancelier, je le sens pas forcément très bon. Il y a du boulot là-bas, et surtout du nettoyage à faire!!!
Bref, pour ce soir, ce sera les Giovanni. Renseignement pris sur leurs différents liens, on les rencontre à Soissons en plein "déménagement" de camion complet d'arme, et de corps. Avec tous ce qu'on a sur eux, on va pouvoir les chargés et s'occuper d'eux.
Dimanche 13 Mai
Nous devons recevoir les deux Giovanni pour un tribunal qui statuera sur leurs devenirs.
Ils nous envoient deux branques qui ne sont au courant de rien et nous prenons la décision de les interdire d'accès à la praxis en dehors de Villers. Ca leur fera les pieds de rester avec les lupins. Nous les laissons partir, mais apparemment les gardes ont eu ordre de ne laisser sortir personne. Cendre prend la décision de les attaquer, ce avec quoi je suis d'accord. Etant dehors pour faire diversion, j'entend les combats et décident de faire entrer la garde pour mettre en torpeur les Giovanni.
Nous sommes par la suite mis au courant que Umberto Rosselini doit être arrêté par tous les moyens car il est en train de liquider ces contacts un par un avant de disparaître.
Nous nous rendons donc dans la demeure de son dernier contact en vie et l'arrêtons alors qu'il est en train de le massacrer. Umberto nous apprend alors qu'il est en train de tuer ses contacts un par un en effet, mais parce qu'ils les ont tous trahi en fait. Après une courte discussion avec lui, nous apprenons qu'il est le dindon de la farce et s'est bien fait avoir par son compère. Nous n'en saurons pas plus, il décide de mettre fin à son existence en faisant exploser une grenade dans sa poche.
Et m...., on va revenir bredouille, et on s'est bien fait avoir sur ce coup-là. Bon j'y récupère quand même 4gardes, mais en revenant à l'Elysée, l'ancien Giovanni nous y attend et nous remet 20.000€ chacun pour notre collaboration. On sort les éléments que nous avons à charges contre son clan pour une dernière esbroufe. Mais il nous rie au nez en nous faisant comprendre que l'on ne peut rien contre eux, et le Prince nous le confirme. Une dette majeure est accordée et ça n'ira pas plus loing. Dire qu'on n'en verra jamais la couleur de cette dette en plus.
On les aura !!!
Une nouvelle réunion qui n'annonce rien de bon encore une fois. D'après ce que j'ai pû entendre les temps sont rudes, et de grandes choses se préparent.
Pour commencer, le Prince nous convie dans des endroits différents et nous fait emmenés par la suite à l'Elysée, que de précautions. Grande surprise à mon arrivé, nous ne serons que 4 pour cette nouvelle réunion. Quel bande de couard ces caïnites !!!! Pas de souci, nous ferons tous nous-même, malgrè ma faible percussion en combat.
Le plus ennuyeux, c'est que nous aurons certainement beaucoup de choses à régler durant cette soirée, et ce n'est donc pas ce soir que nous éluciderons certaines affaires urgentes comme le poème.
Bien, le Prince nous confie une liste de chose à faire comme les Giovanni et le Ventrue de Coucy. Mais avant cela il tient sa parole et me nomme chancelier de Coucy, mais aussi Maître des Harpies. Poste que je briguais, mais je ne m'y attendais pas aussi tôt. Ca fait tout de même plaisir de se voir confier des postes, même si celui de chancelier, je le sens pas forcément très bon. Il y a du boulot là-bas, et surtout du nettoyage à faire!!!
Bref, pour ce soir, ce sera les Giovanni. Renseignement pris sur leurs différents liens, on les rencontre à Soissons en plein "déménagement" de camion complet d'arme, et de corps. Avec tous ce qu'on a sur eux, on va pouvoir les chargés et s'occuper d'eux.
Dimanche 13 Mai
Nous devons recevoir les deux Giovanni pour un tribunal qui statuera sur leurs devenirs.
Ils nous envoient deux branques qui ne sont au courant de rien et nous prenons la décision de les interdire d'accès à la praxis en dehors de Villers. Ca leur fera les pieds de rester avec les lupins. Nous les laissons partir, mais apparemment les gardes ont eu ordre de ne laisser sortir personne. Cendre prend la décision de les attaquer, ce avec quoi je suis d'accord. Etant dehors pour faire diversion, j'entend les combats et décident de faire entrer la garde pour mettre en torpeur les Giovanni.
Nous sommes par la suite mis au courant que Umberto Rosselini doit être arrêté par tous les moyens car il est en train de liquider ces contacts un par un avant de disparaître.
Nous nous rendons donc dans la demeure de son dernier contact en vie et l'arrêtons alors qu'il est en train de le massacrer. Umberto nous apprend alors qu'il est en train de tuer ses contacts un par un en effet, mais parce qu'ils les ont tous trahi en fait. Après une courte discussion avec lui, nous apprenons qu'il est le dindon de la farce et s'est bien fait avoir par son compère. Nous n'en saurons pas plus, il décide de mettre fin à son existence en faisant exploser une grenade dans sa poche.
Et m...., on va revenir bredouille, et on s'est bien fait avoir sur ce coup-là. Bon j'y récupère quand même 4gardes, mais en revenant à l'Elysée, l'ancien Giovanni nous y attend et nous remet 20.000€ chacun pour notre collaboration. On sort les éléments que nous avons à charges contre son clan pour une dernière esbroufe. Mais il nous rie au nez en nous faisant comprendre que l'on ne peut rien contre eux, et le Prince nous le confirme. Une dette majeure est accordée et ça n'ira pas plus loing. Dire qu'on n'en verra jamais la couleur de cette dette en plus.
On les aura !!!
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